Paradoxe du prisonnier
Un condamné à mort vient d'être mis en prison. Il doit être exécuté un jour de la semaine suivante, cependant celui-ci ne doit en aucun cas savoir où déduire le jour de l'exécution. Le prisonnier, fin logique, réfléchit sur son sort. Il se dit: |
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- - 81 le 24/05/2008 : Pas mal ...
- - Anonyme le 26/03/2008 : le prisonnier se trompe dans son raisonnemen il etabli a partir de samedi, c samedi soir
- - pierre le 25/03/2008 : Très bon...
Kajika a raison : l'ambiguïté du paradoxe repose sur le nombre de fois que le prisonnier peut prédire la date de son exécution. Pourtant si il "la sait" ou "la déduit" on peut raisonnablement penser qu'il en est sûr et que par conséquent il n'a pas le droit à une seconde chance.
Partant de là on remarque la faille demandée dans le raisonnement logique : il est possible qu'il soit vivant le samedi soir si il a déduit auparavant que son exécution aurait lieu un autre jour. A partir de là le raisonnement du prisonnier ne peut pas continuer : si le vendredi soir "il est sûr" que son exécution aura lieu le lendemain, la condition pour que l'exécution ait lieu forcément le dimanche est brisée.
C'est la seule faille parce que sinon il s'agit d'un raisonnement par l'absurde qui est itéré (parfaitement logique). - - jojo le 13/10/2006 : son rézonmen ne compte pas pq'il done d jr o pif
- - kd le 23/08/2006 : du mm avis que franck, car comme le prisonnier se croit invincible du coup, et bien n'importe quel jour sera pour lui une surprise...
- - Anonyme le 23/07/2006 : Du même avis que frank.
- - frank le 21/07/2006 : ce qui n'est pas une solution de plus mais une raison de plus de lui donner tord plus exactement
- - frank le 21/07/2006 : je connaissais cette énigme qui n'a pas à etre discutée mais je rajouterais une solution : déduisant qu'il ne peut pas etre condamné par sa déduction , le jour où on viendra le chercher sera donc de toute façon inattendu pour lui du coup....
- - Kajika le 15/05/2006 : L'énoncé est bizard, on ne sait pas si le prisonier doit définir une seule fois le jour de son exécution où s'il peut le fair chaque jour, dans le premier cas il peut dire un jour et sera alors exécuter un autre jour, point, dans le 2ème il n'a que dire que se sera le lendemain (on fait tous ça quand on veut pas faire quelque chose).
Bref, dans tout les cas en répondant que ce ne sera jamis, il laisse la possibilité au bourreau de l'exécuter n'importe quel jour.
PS: "le temps ne s'écoule que dans un sens", pas sûr... - - Jbc le 21/03/2006 : Technique utilisée par les profs de maths sur une interro je crois...
- - Laurent le 04/03/2006 : Pas mal bis. Pas d'accord avec la "solution". C'est insoluble s'il ne doit effectivement en aucun cas déduire le jour de l'exécution, sa "théorie" devient alors juste.
- - jul le 08/01/2006 : raisonnement un peu trop tordu
- - Anonyme le 21/10/2005 : Pas mal..!